Economie du document (Bloc-notes de Jean-Michel Salaün) - XML 10 ans.. d'une révolution documentaire - CommentairesRepérage de données sur l'économie des documents dans un environnement numérique2023-02-23T18:35:44-05:00Jean-Michel Salaünurn:md5:49c8d8ac8d9d26b52cf4ac01c56b3bc3DotclearXML 10 ans.. d'une révolution documentaire - Gautier Poupeauurn:md5:dbe4836d88a1a662e333ccbfe9a15c212008-03-03T14:11:52+00:002008-03-03T14:24:11+00:00Gautier Poupeau<p>Avec un peu de retard, voici une analyse de cet article et qui pourrait expliquer les raisons pour lesquelles les pistes n'ont pas été suivies : <a href="http://www.lespetitescases.net/Du-Web-semantique-au-web-de-donnees-2" title="http://www.lespetitescases.net/Du-Web-semantique-au-web-de-donnees-2" rel="nofollow" rel="ugc nofollow">www.lespetitescases.net/D...</a> </p>XML 10 ans.. d'une révolution documentaire - Alain Pierroturn:md5:53c5c55ae60a97374cf4ae7bb833e8c62008-02-21T21:01:31+00:002008-02-22T00:56:17+00:00Alain Pierrot<p>«Selon qu’elle adopte le formalisme des DTDs (Définition de Type de Document), des Schémas, ou bien encore des représentations logiques du Web sémantique, la codification XML renvoie à autant de considérations distinctes sur le contenu.»<br />
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Je vois une illustration de cette remarque dans une discussion à la suite d'un billet appelant à la création d'outils "sémantiques" conviviaux à la disposition des créateurs de "contenus" :<br />
<a href="http://www.readwriteweb.com/archives/semantic_web_authoring_tools.php#comments" title="http://www.readwriteweb.com/archives/semantic_web_authoring_tools.php#comments" rel="nofollow" rel="ugc nofollow">www.readwriteweb.com/arch...</a><br />
Les tenants de l'approche XML, i.e. DTD/Schémas, à la suite de l'auteur du billet, Nitin Karandikar, <a href="http://blog.softwareabstractions.com/" title="http://blog.softwareabstractions.com/" rel="nofollow" rel="ugc nofollow">blog.softwareabstractions...</a> , revendiquent me semble-t-il l'«agnosticisme» remarqué par Jean-Marc Destabeaux, au prix certes de difficultés en interopérabilité mais avec plus de souplesse pour décrire les documents dans leurs relations complexes constitutives de sens (fonction impliquant émetteur, destinataire, dispositif de restitution, destinataires prédéfinis aussi bien qu'effectifs en fonction du média de diffusion, "redocumentariseurs", …).<br />
Les tenants de l'approche "sémantique", i.e. RDF, SPARQL, etc., témoignent d'une certitude bien plus contraignante quant à ce que serait le sens intrinsèque des (éléments de) documents, ce qui les rend méfiants quant à la libre utilisation d'XML, trop "agnostique", trop "langage", avec ce que cela comporte de liberté et de flou.<br />
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Là où les premiers favorisent communication, interprétation et assument le "jeu" (au sens mécanique) qui me paraît inhérent à la communication linguistique interpersonnelle, les seconds avancent vers un formalisme de l'ordre du calcul logico-mathématique. Opposition entre une vision de la tension entre la nécessité d'avoir une grammaire explicite, mais parmi plusieurs, et la croyance en "la" logique ? <br />
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Fort heureusement, la communication entre les deux formalismes, instances XML avec DTD/Schémas et représentations RDF, reste interopérable.<br />
</p>XML 10 ans.. d'une révolution documentaire - JM Destabeauxurn:md5:a2af31c50625eb38d5a17a04c0c1322b2008-02-15T01:25:22+00:002008-02-15T01:54:28+00:00JM Destabeaux<p>Par rapport à la nature de XML et aux techniques documentaires:<br />
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La véritable loi de Séparation prônée et implémentée par XML est d'abord celle de son modèle SGML: la possibilité laissée à un producteur d'information numérique d'exprimer de manière formelle et normalisée la distinction entre les caractères propres aux données et les caractères propres au balisage -- l'ensemble de ces caractères formant le "texte" du document au sens de la norme ISO. <br />
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Au-delà de cet "enabling agnosticism", on peut dire que le socle technique SGML/XML n'impose ni ne propose de méthodologie documentaire particulière. La nature de l'information consignée dans un document SGML/XML, ou modélisée lors de la construction d'une DTD ou d'un schéma, reste exclusivement dépendante des objectifs d'exploitation envisagés. La façon de réaliser le marquage de cette information pour remplir au mieux ces objectifs est un processus d'ingénierie, libéré de l'éternel problème d'intégrité des données.<br />
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Il me semble bien que toute une réflexion sur les possibilités de grammatisations différentes (si je comprends bien le terme) existe depuis SGML. Des méthodologies de développement SGML comme celle décrite par Maler et El Andaloussi (1996), en ligne à <a href="http://www.xmlgrrl.com/publications/DSDTD/" title="http://www.xmlgrrl.com/publications/DSDTD/" rel="nofollow" rel="ugc nofollow">www.xmlgrrl.com/publicati...</a> proposent une approche multiple de la nature des composants à identifier, et séparent les considérations du type fond-structure-forme de leur expression technique. <br />
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Les notions de "formes architecturales" (HyTime, 1992) <a href="http://xml.coverpages.org/archForms.html" title="http://xml.coverpages.org/archForms.html" rel="nofollow" rel="ugc nofollow">xml.coverpages.org/archFo...</a> adressent explicitement les capacités d'un document à hériter de plusieurs modèles de structuration, comme celles de plusieurs documents marqués différemment à partager pourtant le même modèle formel.<br />
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Je serait tenté de dire que les racines SGML devraient pouvoir continuer à alimenter la démocratie XML...<br />
</p>XML 10 ans.. d'une révolution documentaire - Damien Robillardurn:md5:486612e77859ab3a3b80d68924223fc82008-02-14T09:30:00+00:002008-02-14T10:25:03+00:00Damien Robillard<p>En ce qui concerne les pistes évoquées dans le texte et qui n'auraient pas été suivies, j'ai un peu de mal à comprendre votre avis. S'agirait-il de la séparation de la forme et de la structure qui ne serait pas réellement mise en oeuvre ? J'ai l'impression qu'à part le cas particulier d'xHTML, qui héritait d'un HTML dans lequel tout ceci était vraiment flou, globalement les grandes DTD respectent ces principes. Peut-être la "réification" de la tradition du document papier est un peu excessive, mais personellement j'y trouve une certaine vérité.</p>