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Extrait du Rapport sur le Sommet :

Les participants font valoir que pour l'information numérique, le cycle de préservation débute à la création. La préservation est une responsabilité partagée et est essentielle à l'accès. Les participants font remarquer qu'il faut préserver un volume important et étendu de contenu contemporain, afin de prévoir les utilisations futures imprévues. Ils suggèrent d'abord de veiller à préserver le contenu officiel avant le contenu officieux publié dans Internet. Ils font référence à la stratégie sur le contenu réalisée par la Nouvelle-Zélande et proposent de mener une étude.

L'un des groupes a proposé quatre activités principales :
  1. Créer un réseau de préservation fondé sur des partenariats publics-privés entre les universités, les gouvernements, les associations et les développeurs de logiciels. La stratégie devrait clarifier les rôles et les responsabilités de tous les intervenants et protéger le financement des partenariats publics-privés (PPP). Une partie du financement pourrait également être affecté aux R et D techniques sur la préservation numérique, puisqu'elle nécessite une même approche de partenariat.
  2. Adopter des normes ouvertes et viser l'interopérabilité internationale.
  3. Protéger la capacité des institutions ayant un devoir de mémoire de créer des copies de sauvegarde, à des fins de préservation, selon la loi sur la proprieté intellectuelle.
  4. Établir des priorités de préservation, car dans cet environnement d'information en plein essor, nous ne serons jamais en mesure de préserver toute l'information.

Le deuxième groupe a également préconisé quatre mesures :
  1. Clarifier les rôles et les responsabilités des intervenants à l'égard de la préservation, y compris les mandats de dépôt légal.
  2. Définir les structures et les rôles du réseau, y compris examiner un modèle durable pour les dépôts numériques fiables (DNF), en établissant, s'il y a lieu, un lien avec les initiatives du CANARIE et de cyberinfrastructure, et élaborer un processus d'attestation.
  3. Énoncer un ensemble de principes clairs pour la préservation et l'accès, lequel pourra être intégré dans les politiques (p. ex., consultation avec les Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC).
  4. Faire valoir que la préservation numérique est un droit des citoyens.

Questions pour amorcer la discussion :

Ces éléments peuvent-ils se décliner en programme(s) de recherche pour les universitaires ?

Y-a-t-il au Canada, ou ailleurs, des résultats ou des recherches en cours sur ces domaines ?

Y a-t-il des équipes ou des chercheurs prêts à s’investir dans ces domaines ?



Preservation | Conservation



Extract of the Report on the Summit :

It was observed that for digital information, preservation starts at the time of creation; must be viewed as a shared responsibility; and is primordial to access. Participants noted the need to preserve a broad and substantial body of today's content in order to support unanticipated future uses of it. The importance of ensuring the preservation of formal content as a priority over informal web-based content was suggested, and reference made to the useful work on a content strategy that has been done in New Zealand, which should be studied.

One group suggested four key activities:

  1. Build the preservation network through public-private partnerships among universities, governments, associations and software developers. The strategy should look to clarify roles and responsibilities among all stakeholder bodies and to secure funding that supports PPPs. A portion of that funding could also go to digital preservation technical R & D, as it requires a similar partnered approach.
  2. Adopt open standards and look toward international interoperability.
  3. Secure the ability for memory institutions to create back-up copies for preservation purposes in intellectual property law.
  4. Establish preservation priorities because in the burgeoning information environment, we will never be able to preserve everything.
The second group also advocated four actions:
  1. Clarify preservation roles and responsibilities among stakeholder agencies, including legal deposit mandates.
  2. Define network structures and roles, including examining what is a sustainable model for TDRs, linking as necessary to CANARIE and Cyberinfrastructure initiatives, and developing a certification process.
  3. Clearly articulate a set of principles for preservation and access that can be embedded in policy (e.g. CIHR consultation).
  4. Advocate for digital preservation as a citizenship right.
Questions for discussions :

Can these elements be developed in research program (s) for academics?

Are there in Canada, or elsewhere, results or research in progress in these fields?

Are there teams or researchers ready to invest themselves in these fields?