Les artistes sont visionnaires, ils sentent les choses avant tout le monde. C'est pour cela que l'on a besoin d'eux et de Jacques Dutronc en particulier qui dans ses chansons a souvent perçu les bascules de l'air du temps. En 1967, il se moque des intellectuels, un an avant que la spontanéïté envahisse (provisoirement) la rue.

Plus de quarante ans plus tard, sa chanson mérite d'être réécoutée à l'époque des lectures industrielles, de Google qui nous rendrait idiot et de la théorie du document, elle prend un nouveau relief. Un petit bol d'air et un peu d'autodérision.

Paroles de la chanson.