Economie du document (Bloc-notes de Jean-Michel Salaün)

Repérage de données sur l'économie des documents dans un environnement numérique

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jeudi 16 avril 2009

Révision séquence 2 cours (0. et 1.)

La séquence 2 du cours appelle des ajustements aussi bien sur la forme que sur le fond plus importants que la précédente, même si sa logique générale et le raisonnement qui la sous-tend, exposés dans la précédente révision, me paraissent bons :

Cette séquence, comme celle qui la suivra mais d'un point de vue radicalement différent, donne une clé pour comprendre l'évolution actuelle à partir d'un éclairage issu de l'économie industrielle. Il s'agit ici principalement de souligner la domination des cycles des industries issues du contenant. Ceci implique d'abord d'avoir une idée de la nature des différents marchés, de leur ordre de grandeur, de leur régulation et de leurs dysfonctionnements éventuels. Puis, je présenterai les différentes familles techniques en soulignant leur histoire et dynamique propre, et aussi leur articulation et influences réciproques. Enfin la séquence se conclut en montrant comment nait un média, par un parallèle entre la situation actuelle du Web et la naissance de la radio dans la première partie du siècle précédent.

Pour que cela soit parfaitement clair pour l'étudiant, il manque sans doute une diapo de conclusion qui les rappellent.

La séquence comprend une introduction, intitulée Précautions et définitions et numérotée 0., puis trois parties

  1. Le partage des rémunérations
  2. Les quatre filières techniques
  3. Vers un nouveau média ?

Il serait plus simple d'intégrer l'introduction comme une partie et donc de faire quatre parties ordinaires

Le plan général est donc à conserver, mais il y a des ajustements à faire dans les sous-parties. Passons-les en revue. Dans ce billet, je ne traite que les sous-patie 0. et 1.. La suite est à venir.

0. Précautions et définitions

Il y a un problème entre l'articulation du son et des diapositives de définition. Il faudrait remettre explicitement chaque définition dans son contexte en introduisant et renvoyant aux textes d'origine fournis dans la bibliographie.

De plus il serait opportun d'ajouter une diapositive en fin de partie pour s'interroger sur la place de Google en industrie du contenant ou du contenu. La suggestion est que la firme s'appuie de plus en plus sur sa puissance informatique, symbolisée par ses centres de données (ici, et ), et qu'elle hésite entre une prestation de services et la construction d'un nouveau média, comme il est suggéré dans ce cours. L'intégration du contenant et du contenu est la marque de médias jeunes (imprimeur-libraire, imprimerie intégrée dans la presse quotidienne, réseau et société de programme en radio-TV), et la maîtrise du contenant est souvent une barrière à l'entrée pour permettre de consolider les positions dominantes, qui est cassée par la suite par voie réglementaire pour favoriser le pluralisme. Il faudrait alors séparer puissance informatique et traitement du contenu, nous n'y sommes pas encore.

Mais l'exemple de Google a le double avantage de souligner à la fois la difficulté de séparer les deux types d'industrie et en même temps de montrer l'importance de cette séparation.

1. Le partage des rémunérations

1.1 Aperçu des marchés finaux (ménages, annonceurs, entreprises)

Le problème le plus important, déjà repéré dans l'évaluation précédente est celui de l'actualisation des chiffres dans les tableaux. Une autre lacune complémentaire est de ne pas donner aux étudiants l'occasion d'aller chercher par eux-mêmes les chiffres dans les sources statistiques. Pour résoudre ces deux difficultés à la prochaine version du cours, il me semble que l'actualisation pourrait être réalisée par les étudiants eux-mêmes à partir d'un petit exercice sous forme de Quizz en leur fournissant documentation et outils nécessaires. Il pourrait s'agir d'ajouter une colonne aux tableaux (S2D9,14A08) ou de retrouver des tableaux ou diagrammes plus récents sur les mêmes données (S2D10,11,12,15,16A08). Ceci pourrait se faire à la fois en ligne et dans le fascicule PdF.

Le son d'une diapo est répété par erreur (S2D15,16A08).

Il manque une diapo de synthèse après le marché publicitaire (après S2D16A08) et une diapo de conclusion (après S2D17A08).

1.2 Aperçu des bailleurs de fonds (financiers, États)

Cette sous-partie est peut-être celle qui a le plus subie l'obsolescence de l'actualité à cause de la crise financière. Voici les corrections proposées.

  • D18, revoir la diapositive et le commentaire en ajoutant la crise actuelle
  • D19, être plus explicite en mettant un sous-titre sur la logique spéculative des industries du contenu et un autre sur la logique d'investissement des industries du contenant.
  • D20, revoir le commentaire, ajouter une diapo sur la crise actuelle.
  • D22 actualiser le graphique et en profiter pour nuancer les propos de la diapo précédente à la lumière de l'évolution de la bourse.
  • D23 à revoir en faisant ressortir d'une part la particularité de l'oligopole à frange numérique (misant sur le succès d'utilisation) et en même temps sa banalité dans les industrie du contenu. Deux diapos seront peut-être nécessaires en prenant des illustrations dans qques branches.
  • D24, supprimer la diapo, la régulation de l'État est traitée dans la séquence suivante (enlever aussi cette mention dans la présentation du plan D2).

Il serait utile d'avoir une diapo de conclusion rappelant les principales notions à mémoriser. Il serait utile aussi d'avoir un bon article de synthèse sur les conséquences de la crise financière sur les industries de contenu, à trouver dans WSJ ou FT ?

1.3 Déséquilibres Contenant/contenu

Ces trois diapositives développent une idée fondamentale, mais souvent oubliée : le contenu n'est pas le roi. Malheureusement, il est difficile de trouver des chiffres fiables récents et les tableaux des 3 diapositives datent un peu (D25 surtout). Faute d'y arriver d'ici la prochaine édition du cours, une solution serait de s'appuyer sur l'article d'A. Odlysko qui a rencontré un certain succès chez les étudiants et de leur faire chercher dans les grands annuaires (p ex ici) quelques illustrations du phénomène.

1.4 Déplacements de valeur

Cette idée mérite plus qu'une simple diapositive. Là aussi, il serait possible de construire un petit exercice en demandant quelle est la valeur détruite et construite dans telle ou telle application et en renvoyant à des billets d'actualié sur ces questions.

Remplacer la D29 par une conclusion indiquant l'idée force de chacune des 4 ss-partie et montrant comment elles s'articulent.

mercredi 15 avril 2009

Révision séquence 1 cours

La séquence 1 du cours sur les particularités économiques du document publié est générale. Elle ne nécessite pas d'actualisation et peu de modifications. Le billet sur la conférence de Tim Berners-Lee montre que la grille fonctionne bien pour analyser les évènements du domaine. Je n'ai donc pas beaucoup de remarques sur le fond, ce qui me permet de me consacrer plus à la forme et à l'efficacité de la transmission. Mon objectif est toujours de privilégier la simplicité, à la fois pour la fabrication et pour l'étudiant ensuite, sans évidemment renoncer à l'efficacité.

Fond

Le plan de la séquence est le suivant :

  1. Une préoccupation récente
  2. Les sept piliers de l’économie du document
  3. Les trois modèles de valorisation du marché
  4. Les six conseils aux entrepreneurs

La troisième partie pourrait être étoffée par trois illustrations en trois diapositives pour concrétiser les modèles par un exemple chaque fois un peu spectaculaire. Il manque une conclusion pour remettre en perspective la dernière partie qui fait référence aux développements numériques par rapport aux invariants du domaine présentés auparavant.

Son

L'enregistrement de la voix, dans une situation de monologue sans interlocuteur, a un effet paradoxal. D'un côté, très rapidement on apprend à utiliser les fonctionnalités d'un enregistreur et mixeur numérique (j'utilise Audacity). Ainsi la dictée se rapproche du traitement de texte où l'on peut facilement remplacer un mot par un autre, gommer les hésitations et les mots et bruits parasites. D'un autre côté, la trace que l'on laisse ne doit pas contenir d'erreur, car on ne sera plus là quand l'étudiant sera à l'écoute.

Le résultat est un discours très construit, alors qu'il n'y a pas une ligne écrite, mais dense et monocorde, car on n'est pas en situation d'interaction comme dans un échange vocal naturel. L'écoute est déroutante et la mémorisation sans doute délicate.

Il me parait difficile de contourner cette difficulté, sauf à jouer la comédie mais alors le processus de fabrication serait radicalement différent pour un résultat pas nécessairement meilleur, compte tenu de mes capacités limitées dans ce domaine. La solution me parait plutôt dans un outil de prise de notes plus élaboré pour l'étudiant. Nous proposions simplement un Pdf avec trois diapos par page. Je pense qu'il faut s'orienter vers un cahier plus construit, comprenant une petite intro sur la prise de notes, un espace plus grand pour celles-ci en regard de la diapo correspondante, avec chaque fois une ou deux questions simples de compréhension. L'idéal serait d'avoir à la fois une version imprimable ou que l'on peut compléter directement à l'écran.

Quizz

La prochaine version du cours sera sous Adobe Presenter qui autorise l'intégration de Quizz. Dans cette section, la partie sur les piliers se prête bien à un tel exercice d'autant que je dispose déjà d'un matériel pour cela, celui des examens des sessions précédentes. Il s'agit de citations de professionnels ou d'experts dont il faut repérer à quels piliers elles réfèrent. Il peut ainsi il y avoir un tirage aléatoire dans un grand nombre de citations et l'étudiant ne pourra suivre la suite du cours que lorsque aura répondu juste à deux citations, différentes à chaque écoute.

lundi 06 avril 2009

La messe des données

Une façon d'enrichir le cours sur l'économie des documents est de prendre quelques évènements significatifs de l'actualité et de les passer au prisme des notions développées. J'ai l'ambition de permettre le décryptage des mouvements qui agitent le monde documentaire. Un repérage critique à l'avantage d'en faire la démonstration ou, inversement, de repérer des failles à réparer.

Pour éviter de trop longs développements, je coderai les références au cours de la façon suivante : SxDyA08, x étant le numéro de la séquence, y le numéro de la diapositive, A08 signifie qu'il s'agit de la version de l'automne 08. Par exemple, S1D7A08 fait référence à la diapositive 7 «Pilier2. Le prototype» que l'on trouve dans la séquence 1 du cours de l'automne 08. Pour la retrouver et écouter son commentaire, il suffira de suivre le lien qui conduit à la partie du diaporama concernée et de se rendre à la diapositive en question par son numéro : S1D7A08. Il est probable qu'avec le temps les liens vont se casser, mais d'ici là j'aurai peut-être trouvé une formule plus simple.

Illustration de la Séquence 1 : Particularités économiques du document publié

Commençons donc par la séquence 1 sur les particularités économiques du document avec un document emblématique : le discours de Tim Berners-Lee au congrès TED pour Technology, Entertainment, Design en février 2009 (le discours est sous-titré en français).

L'argumentaire de TBL pour «libérer les données» s'appuie clairement sur les particularités économiques de l'information : la non destruction qui permet à tous de se resservir des mêmes données sans les altérer ; le prototype, les données ne sont produites qu'une fois pour être partagées ; la plasticité qui permet de construire de nouvelles informations par la combinaison et le calcul des anciennes ; l'interprétation qui autorise l'utilisation des mêmes données à des fins diverses ; la résonance par les effets de réseau (S1D6,7,8,9,12A08).

Mais il en laisse de côté deux, et cet oubli n'est pas sans signification : l'expérience et l'attention (S1D10,11A08). En réalité , l'économie marchande de l'information est construite sur ces deux particularités là qui sont synonymes de rareté. C'est parce que l'on ne connait pas un document avant de l'avoir lu que l'on peut le vendre. C'est parce que l'attention est limitée que l'on peut la capter au profit d'annonceurs intéressés (S1D13A08).

Le discours de TBL est donc un discours d'économie publique. Cela est particulièrement flagrant dans les exemples qu'il prend : données gouvernementales, données scientifiques, Wikipédia. Mais cela peut être trompeur et ambigu quand il évoque les données privées, les traces de navigation ou encore les réseaux sociaux. Prenons l'exemple de Google qui s'est construit sur l'architecture de l'ancien Web, celui que TBL appelle le «Web des documents». Google a fait sa fortune en «libérant les documents», mais en enchaînant les données. C'est parce Google garde les données brutes, tout particulièrement celles sur les pratiques de navigation, mais aussi celles par exemple sur la géolocalisation, qu'il peut construire son marché de l'attention en détruisant celui des anciens médias. Il est tout à fait intéressant de voir que le déplacement du verrouillage était suggéré, il y a 10 ans dans le manuel de Shapiro et Varian (S1D16A08), Hal Varian qui est aujourd'hui Chief economist chez Google.

Quelques mots, enfin, sur la forme du discours qui est en cohérence avec les constatations précédentes, TBL semble avoir adopté le style du prêche Hi-Tech californien, dont Steve Jobs est la star inégalable (voir ici, l'introduction du iPhone) et qui n'est pas sans rappeler celui des pasteurs baptistes (p. ex ici), à la différence près que pour les gourous Hi-Tech, il n'y a pas d'enfer. La motivation est le bien de l'humanité sans la peur de la damnation. Nous sommes dans le «bien public» dans tous les sens du terme.

Cette forme n'est pas anodine, il s'agit de faire partager une utopie quasi-religieuse, ici une communion, au sens propre, des données, qu'il faut libérer pour sauver le monde. Je le dis en souriant mais sans vraie ironie. P. Flichy (, S2D41A08), parmi d'autres, a montré combien l'imaginaire était important pour l'innovation et combien il était présent dans le développement de l'internet.

Et après tout, le bien de l'humanité n'est pas une mauvaise motivation, optimiste mais peut-être angélique puisqu'elle gomme des volets importants du développement du numérique et des réseaux : les limites qui permettent justement la construction du marché, et aussi qui favorisent sa partie noire, obscure qui explose, elle aussi, le contrôle, la manipulation, l'escroquerie, le vol, le détournement, le mensonge, etc.

Par ailleurs, il y aurait bien des choses à dire sur le fait que TBL n'évoque pas le Web sémantique du moins dans ce prêche où le mot n'est pas prononcé. Passer du Web sémantique au Web des données n'est pas innocent. J'y reviendrai peut-être à l'occasion quand j'en serai à la révision de la séquence sur la redocumentatisation (ici).

Actu du 7 janvier 2010

Voir aussi l'importance de l'accessibilité des données dans cet article du NYT :

John Markoff, “A Deluge of Data Shapes a New Era in Computing,” The New York Times, Décembre 15, 2009, sec. Science, ici.

Actu du 12 mars 2010

Un an plus tard, TBL récidive avec, cette fois une démonstration par l'exemple d'utilisations, notamment sur des cartes, des données en accès libre ici.

mercredi 01 avril 2009

Structure du cours (révision)

Comme l'année dernière, je démarre une série de billets sur la révision du cours Économie du document. Je commence par sa structure, puis j'entrerai dans le détail de chaque section.

Rappel : le cours est consultable ici, son évaluation rédigée par Vincent Audette-Chapdelaine

La structure générale est bonne et a fait ses preuves, aussi bien dans le plan du cours que dans les modalités de transmission du contenu ou encore dans les contrôles (ici). Néanmoins certaines modalités peuvent être affinées. Le souci reste toujours le même : assurer la transmission la plus efficace pour les étudiants dans une économie de moyens maîtrisable par un professeur et son auxiliaire.

Forum

Il y a eu des échanges nombreux et nourris entre les étudiants, mais le statut des lieux d'échanges n'était pas toujours clair dans leur tête entre le forum fermé et les commentaires sur les billets du blogue. Il serait préférable sans doute de distinguer quatre lieux :

  • Échanges directs entre étudiants, en dehors du professeur qui peut tout au plus suggérer leur utilité. FaceBook ou toute plateforme sociale parait l'outil le plus adapté.
  • Forum sur les thématiques du cours, synonyme de la discussion en classe. Dès lors, le mieux est que la discussion soit amorcée directement dans le cours. Peut-être dans un clip vidéo très court à la fin du cours ? Mais il est indispensable de prévoir une règle du jeu : p ex deux étudiants désignés interviennent obligatoirement pour chaque session, et tous doivent intervenir au moins deux fois dans l'une ou l'autre session pour laquelle ils ne sont pas désignés.
  • Discussion sur les billets des étudiants, uniquement sur le blogue avec la même règle d'intervention.
  • Commentaire libre sur le blogue. 2 au minimum en dehors des billets d'étudiants.

Bien entendu, le professeur peut aussi répondre à des questions directes, soit sur le forum, soit par courriel au choix de l'étudiant.

Cours enregistré

La formule est intéressante par sa souplesse de réalisation, mais doit être affinée. Même si je reste sceptique face aux discours assimilant le jeu et la pédagogie, maintenant que j'ai l'expérience de l'outil il serait utile de rendre l'énonciation moins monocorde pour maintenir l'attention. On peut penser à des ruptures de ton, à un appel plus systématique à des vidéos extérieures, mais aussi à des Quizz pour vérifier que certaines notions essentielles ont bien été assimilées.

De plus, il faut inventer une méthode simple pour actualiser les parties du cours qui le méritent sans avoir à tout reprendre. Il faudra peut-être diviser le cours en éléments génériques à évolution lente (p ex tous les 3 ans) et éléments à reprendre chaque année, avec un protocole simple.

Enfin, j'étais au départ sceptique sur le clip vidéo d'introduction. Il semble pourtant apprécié des étudiants, sans doute parce qu'il a bien joué son rôle pour humaniser la relation au cours. Néanmoins, il mériterait aussi d'être un peu plus travaillé, par ex en accrochant la thématique du cours à un élément d'actualité traité par ailleurs dans un billet du blogue. Il y a là un jeu à explorer entre la vidéo sur le blogue et l'accès au cours.

Bibliographie

L'utilisation de Zotero est très efficace. La question ici est dans le choix des meilleurs textes et surtout dans leur lecture effective par les étudiants. Ceux-ci doivent sans doute être plus systématiquement articulés avec le cours enregistré, faire l'objet de question dans les quizz par exemple et sans doute de rebond dans les discussions sur le forum.

Étude de cas

Malgré quelques réticences au départ chez certains, l'étude de cas a bien fonctionné. Même si on peut, comme toujours, s'interroger sur l'inégalité des investissements dans les travaux de groupe, la reprise de questions sur le cas dans l'examen final a obligé chacun à s'y investir. Il faut peut-être simplement réviser un peu son calendrier.

Reste que la rédaction d'un cas est un lourd travail et il y a là une réelle difficulté car il est nécessaire de renouveler les problématiques et terrains. Peut-être pourrait-on imaginer, comme cela existe en gestion, une banque de cas mutualisés entre les formations francophones ?

Contrôles

Les contrôles ont très bien fonctionné alors même que c'est une des parties les plus délicates de l'enseignement à distance. En réalité, il suffit d'inventer des modalités appropriées.

mercredi 17 décembre 2008

Évaluation du cours

Vincent Audette-Chapdelaine, qui m'a assisté pour la réalisation technique et l'animation du cours en ligne sur l'économie du document, en a réalisé un bilan comprenant les aspects administratif, technique, pédagogique, les résultats de son évaluation par les étudiants et les statistiques de consultation.

Ces données peuvent intéresser ceux qui mènent ou qui sont tentés par ce genre d'expérience. On peut les consulter ici.

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